🧡 Notre histoire

Je suis Laetitia, fondatrice de Proches-Seniors.
Je me souviens des dimanches chez ma grand-mère.
Elle souriait. Moi aussi.
Et puis… plus rien.

« Alors, ça va ? »
« Oui, et toi ? »
« Ça va… »

Et après ?
Rien.
Juste l’horloge, que je surveillais du coin de l’œil.
Encore 40 minutes Ă  tenir.

Un jour, j’ai compris : ce n’était pas la faute de ma grand-mère.
C’était le manque d’outil. Le manque d'occasion pour dire :
« Viens, installe-toi ici. Je vais te montrer quelque chose. »

🏠 Le confinement a tout révélé

En 2020, les visites ont été coupées.
Les familles collées aux vitres.
Les seniors seuls, derrière les murs.

C’est là que Proches-Seniors est né.
D’abord, j’ai animé des jeux en ligne pour garder le lien.
Puis, portée par des mamies, des mamans, des aidants qui croyaient à ce rêve, j’ai lancé une cagnotte.
8 000 euros.
Une preuve de confiance bouleversante.

Avec cet élan, j’ai lancé la société.
Au début, je testais tout : jeux de mémoire, récits de vie…
Mais j’ai vite compris : ce n’est pas l’activité qui compte. C’est la transmission.
C’est ce fil tendu entre deux générations.
Ce savoir-faire qui passe de main en main.
Ce moment oĂą une petite-fille dit :
“Montre-moi, mamie.”

✨ 5 ans à vos côtés

Aujourd’hui, Proches-Seniors propose des kits de broderie, de couture, de crochet, des jeux de cartes pour rire et se souvenir, des objets simples, beaux, durables.

Parce qu’en France, des milliers de grands-mères ont un trésor à transmettre :
leurs mains, leurs souvenirs, leurs histoires.
Et pourtant… on leur propose trop souvent des activités tristes, répétitives, ou infantilisantes.
Comme si vieillir, c’était renoncer à être utile.

Nous pensons l’inverse.
Nous pensons que transmettre, c’est aimer en avance.
Que chaque point de croix, chaque carte tirée, chaque fil tendu,
est un acte de lien, de dignité, de beauté.

🌿 Notre rêve ?

Que plus jamais une petite-fille ne s’ennuie chez sa mamie.
Que plus jamais une grand-mère ne se sente inutile.

Ce rêve, nous le portons avec vous — mamies, mamans, petites-filles, aidants.

Et chaque sourire partagé, chaque message reçu, chaque photo d’un petit ouvrage accroché au mur nous le confirme :

La transmission commence lĂ  oĂą les mains se touchent.

Â